A l’origine du mouvement : une mauvaise négociation, puis le début de la luute et les premières actions et grèves, le combat s’intensifie avec une victoire en vue et tout cela d’avril à septembre 2024
À L’ORIGINE DU MOUVEMENT : UNE MAUVAISE NÉGOCIATION
Tout a commencé avec un accord mal négocié sur la mise en conformité des titres-restaurant avec les règles URSSAF. Cette négociation bâclée a déclenché une vague de mécontentement parmi les superviseurs 24/7 des supervisions internationales d’OINIS d’Archives (INOC et PSM). Déjà fatigués par la dégradation de leurs conditions de travail. Ces accumulations de désagréments on poussé à une véritable révolte.
LE DÉBUT DE LA LUTTE : PREMIÈRE ACTIONS ET GRÈVES
Le 1er avril 2024, un courrier a été envoyé à la DRH d’Orange Wholesale pour exprimer leurs revendications. Après une première réunion le 17 mai qui n’a rien donné, la décision de faire grève fut prise, avec un premier préavis déposé pour le 25 mai. La direction, utilisant des manœuvres déloyales pour étouffer cette contestation, n’a pas réussi à empêcher une large mobilisation.
LE COMBAT S’INTENSIFIE
Malgré plusieurs rencontres avec la direction, les avancées restaient insuffisantes. Les grèves se sont enchainées, le mouvement s’étendant jusqu’au 8 juin, toujours avec un soutien massif des superviseurs. il était clair que la direction tentait de gagner du temps, espérant une désescalade avant les jeux olympiques.
Une victoire en vue
Le 1" juin, une nouvelle rencontre avec le directeur d’OINIS, a marqué un tournant. Celui-ci a reconnu l’importance cruciale des superviseurs pour le groupe
Les dernières étapes avant la victoire
Malgré des pressions et des tentatives de dissuasion de la direction, la mobilisation n’a pas faibli. Un nouveau préavis a été déposé pour couvrir toute la périodes des jeux olympiques. La direction a dû reconnaître la légitimité des demandes et céder sur tous les points
Finalement la réunion du 26 septembre a permis de sceller les accords et de mettre fin aus grèves, assurant des conditions de travail plus justes pour tous les superviseurs